La maladie de parkinson est une maladie neurodégénérative qui touche les neurones producteurs de la dopamine situés à la base du cerveau. La dopamine est entre autre responsable des mouvements.
Quand on sait que la pratique de la sophrologie active la dopamine, on comprend mieux pourquoi PARKINSON et SOPHROLOGIE vont très bien ensemble.
La pratique de la sophrologie va permettre au participant de réapprendre à respirer, libérer ses tensions et découvrir des sensations nouvelles ou disparues. Souvent les malades perdent des perceptions dans certains membres, d’où ralentissement des mouvements. En reprenant contact avec son corps, en s’entraînant par des mouvements en pleine conscience et en réveillant ses sens, le parkinsonien va petit à petit retrouver une meilleure mobilité.
« chaque mouvement pour le parkinsonien est une victoire »
Les émotions souvent exacerbées, deviennent, à force d’entraînement mieux gérées. C’est aussi se redonner confiance, faire le plein d’énergie et retrouver son équilibre et son ancrage.
C’est le hasard des rencontres qui m’a permit de me sensibiliser à cette maladie et à proposer des séances de sophrologie. D’abord individuellement, puis en groupe à ce jour avec France PARKINSON sur Nantes.
Les effets ?
Daniel (prénom d’emprunt pour préserver l’anonymat) se dit très heureux d’avoir trouvé une pratique qui lui permette de faire vraiment le vide de ses idées qui tournent en boucle.
Georges reprend confiance en lui, s’écoute davantage lorsqu’il est fatigué et apprend à refuser certaines sollicitations pour se préserver.
Nicole commence à mieux accepter sa maladie, commence même à en parler autour d’elle.
Gabrielle en fin de séance lance avec un grand sourire « je ne me suis pas sentie aussi bien depuis longtemps ».
Jules, par un trop plein d’émotions, fond en larme, se laisse aller à son émotion. Surpris dans un premier temps, il rétorque la semaine suivante « c’était une bonne séance mais moins d’émotion ». Comme si ces larmes libératrices, ressemblaient finalement à des larmes de bonheur.
Dans la réalité de la maladie de PARKINSON, il y a aussi l’aidant, souvent le conjoint, qui se retrouve affubler d’un rôle de soignant, sans en avoir la formation, ni la vocation. Force est de constater qu’au fil du temps, il se fatigue lui aussi et se renferme dans une situation anxiogène.
Pour exemple, Monique, qui soutient son mari depuis 17 ans. Arrivée le premier jour, elle décrit un épuisement, un isolement et un besoin de s’offrir du temps rien que pour elle. Elle s ‘inscrit en séance de groupe et déclare au bout de trois rendez vous : « je me sens plus calme vis à vis de mon mari, du coup je le stresse moins, nos rapports deviennent plus apaisés.
J’ai fais le choix de me spécialiser dans l’accompagnement de cette maladie via une formation à la faculté de médecine de Rennes.
Si vous êtes concerné (e) par la maladie , de près ou de loin, n’hésitez pas à me contacter, nous verrons ensemble l’accompagnement le mieux adapté.