SES SOURCES :
Créé par un neuropsychiatre : ALPHONSO CAYCEDO au début des années 60, ce dernier s’est inspiré :
- Du yoga
- Du zen Japonais
- De la méditation
- Des neurosciences
- De la philosophie
- De la relaxation
- Du Bouddhisme
LA VIVANCE :
C’est la capacité de vivre le phénomène quand il se présente et en prendre conscience au moment présent. C’est éprouver les manifestations de la vie tout en prenant conscience de les vivre !
SOMATISATION DU POSITIF :
Grâce à la répétition des exercices en sophrologie, j’intègre dans mon être la capacité à me sentir bien, à vivre en respect de mes valeurs. Toute action positive dirigée vers la conscience se répercute positivement sur tous les éléments psychologiques et physiques de l’être.
RESPIRATION :
Respirer pour vivre, bien respirer pour bien vivre… Prendre conscience de sa respiration, la stimuler par différents exercices pour une meilleure oxygénation du sang, de nos cellules, de notre cerveau.
RELAXATION :
C’est grâce à une profonde relaxation que je suis déparasité des tracas du quotidien et que j’atteins un niveau de conscience hyper lucide du moi intérieur. A ce niveau de conscience on retrouve les ondes alpha (activité électrique cérébrale) =un état apaisé à l’inverse des ondes beta =anxiété.
DÉCOUVERTE DE SOI :
Objectif prioritaire de la sophrologie, un chemin vers la liberté. C’est une structure plus essentielle de la conscience, la liberté de créer, de se créer…C’est une nouvelle structure fondamentale. Elle est ouverte, affirmative et axiologique (tournée vers les valeurs).
PRINCIPE DU SCHÉMA CORPOREL, COMME RÉALITÉ VÉCUE :
La conquête du corps pour la conquête de l’esprit. Tout passe par le corps, c’est ce que nous appelons, la corporalité.
RÔLE DU SOPHROLOGUE :
Par son écoute et son adaptabilité, il propose des techniques adaptées à chaque personne en lien avec les attentes formulées. Il sert de guide dans le cheminement de soi et de conseiller dans les pratiques à exercer dans la vie de tous les jours.
L’ATTITUDE SOPHROLOGIQUE :
C’est un retour sur sa propre « chose », c’est mettre entre parenthèse son propre jugement, ses apriori et le négatif. C’est prendre conscience de son existence même, revenir à ce que nous sommes essentiellement. Grâce à cette attitude un espace se crée en soi, plus vaste et plus libre. Nous mettons en œuvre une relation nouvelle avec nous même autour de notre passé, notre présent, notre futur et nos valeurs.